Autoriser... à la fin d'une journée consacrée au "Brainstorming, mode d'emploi", j'ai réalisé que j'avais répété à l'envi ces deux mots, autoriser et autorisation. Précisons qu'il s'agissait plus de s'assurer que le brainstorming serait fertile plutôt que de répertorier des techniques.
Mais autoriser quoi ? Bien sûr, la libre expression, les pas de côté, le politiquement pas correct, le "farfelu",... Mais en fait, à qui, à quoi je donne la permission de quoi ? Tout simplement, pendant un temps donné, je donne au cerveau la permission de fonctionner en mode "naturel". Sans logique apparente, sans besoin de justification, juste par association spontanée d'idées, bref en autorisant le "coq à l'âne".
Un des jeux préférés de notre cerveau, plus souvent pratiqué sous la douche ou en marchant que dans une salle de réunion. Et, surtout, pratiqué la plupart du temps en solo. La difficulté du brainstorming, c'est de l'autoriser en présence des autres, en association avec les autres :-). D'où le second enjeu du brainstorming : la confiance.
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